[REGARD SUR] El Hadj Malick et ses Moukhadams

« Pour connaitre la dimension spirituelle, intellectuelle et sociale de Seydi El Hadj Malick Sy, jetez un regard sur la vie et l’oeuvre de ses Moukhadams. Hier ils étaient des compagnons d’études parcourant les « puits du savoir », Aujourd’hui, tous ont reconnu ses mérites et se sont abreuvés à « la source du savoir intarissable » qu’est Maodo, comme dit le chanteur : « Moo Djangal Gaa gnifi Raw »;;;; Revisitons la vie et l’oeuvre de ses hommes multi-dimensionnels dont chacun avait la capacité spirituelle de batir sa propre Tarikha après leurs formations en sciences islamiques , mais tous sont restés dans l’ombre de « Ndiol-Fama » et de Cheikhana Ahmad Tidiani Cherif », Gloire à Allah Seigneur de l’Univers…(Asfiyahi.org)

« Pour connaitre la dimension spirituelle, intellectuelle et sociale de Seydi El Hadj Malick Sy, jetez un regard sur la vie et l’oeuvre de ses Moukhadams. Hier ils étaient des compagnons d’études parcourant les « puits du savoir », Aujourd’hui, tous ont reconnu ses mérites et se sont abreuvés à « la source du savoir intarissable » qu’est Maodo, comme dit le chanteur : « Moo Djangal Gaa gnifi Raw »;;;; Revisitons la vie et l’oeuvre de ses hommes multi-dimensionnels dont chacun avait la capacité spirituelle de batir sa propre Tarikha après leurs formations en sciences islamiques , mais tous sont restés dans l’ombre de « Ndiol-Fama » et de Cheikhana Ahmad Tidiani Cherif », Gloire à Allah Seigneur de l’Univers…(Asfiyahi.org).

 

Après ses études arabo-islamiques, il s’initia à la Tidjaniya sous la direction se Seydi El Hadj Malick Sy qui en fit un Moukhadam avant de lui donner la main de sa fille Sokhna Oumou Sy et lui demanda d’aller s’installer au Djoloff oû il a rendu l’âme le Lundi 26 Decembre 1949 à Mbeuleukhé. Son Mausolée est visitée par des milliers d’adeptes.

Dans le Djolof, la confrérie Tidiane est par sa propragation fort redevable à El Hadj Daouda Dia. Cet homme de Dieu s’est distingué dés son jeune âge à acccomplir la mission à lui tracée de faire jaillir la lumière de la confrérie aux confins d la contrée de Alboury Ndiaye.

Né en 1877, Elhadj Daouda Dia maîtrisa le Saint-Coran à l’âge de sept ans, Cette maîtrise du Coran auprés de son pére Serigne Moctar Dia serait une prédisposition, révélant les qualités du futur saint et guide El Hadj Daouda Dia.

Le tournant de sa vie allait se faire dans la voie Tidiane. Son père était un khadre convaincu. Mais la quête de connaissance était fort chez le jeune Daouda, qui traduit son envie d’aller voir aileurs pour une formation plus accomplie..Que ça soit à Méguélé (dans le Ndiambour), à Thiaméne ( dans le Djoloff), ou encore à Ndeulou Boudy, El Hadj Daouad Dia parcourut des distances pour affiner ses connaissances en sciences islamiques.

« C’est Cheikh Amina Sy qui, aprés avoir testé son niveau, et en a déduit qu’il lui fallait un guide et non un enseignant, qui l’aurait amené auprés de Seydi El Hadj Malick Sy à Ndiarndé pour mieux assoir sa spiritualité » Ainsi, El Hadj Daouda Dia est ce que l’on a apellé de « l’Université de Ndiarndé », même s’il reste avec son mentor EL Hadj Malick Sy peu de temps dans le village avant de rallier Tivaouane oû il compléta sa formation aupés de Maodo.

Ses Connaissancese en Dieu approfondies par El Hadj Malick Sy, El Hadj Daouda Dia resta entre un et deux ans à Tivaounae avant de recevoir la bénédiction du Saint-Homme pour retourner s’installer dans le Djoloff afin d’y propager la Tidjaniya.